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31 mai 2009 7 31 /05 /mai /2009 11:29
Le vinaigre facilite la digestion

Composé à 95 % d'eau, le vinaigre apporte une quantité négligeable de calories : à peine 2 par cuillère à soupe. De plus, sa saveur acidulée agissant comme un exhausteur de goût, il permet de diminuer la quantité de sauce destinée à relever les plats. "Il facilite aussi la digestion des aliments auxquels il est associé, souligne le Dr Pierre Dukan, nutritionniste. Grâce à son action protéolytique et émulsifiante, il prédigère les protéines et facilite la dégradation des graisses." Une propriété qui atténue la saveur trop grasse de certains aliments, comme les fritures et les poissons gras...
Mais comment faire son choix ? "Celui de cidre fait probablement partie des meilleurs, répond le Dr Dukan. Il allie l'intérêt de la fermentation et les qualités nutritionnelles de la pomme, tout en apportant un peu de bêta-carotène." Faute d'études suffisamment étayées, on ne peut pas affirmer qu'il possède une action amincissante, mais les travaux réalisés jusqu'à maintenant tendent à montrer une action positive sur le taux de "mauvais" cholestérol et sur le poids.
Le vinaigre de vin conserve, quant à lui, une partie des nutriments du raisin : magnésium, calcium, potassium, polyphénols... La bonne idée : en choisir plusieurs et les utiliser en alternance.

Il tue les microbes

Le vinaigre constitue la base de nombreuses marinades. Il réalise en effet une "cuisson superficielle" des aliments permettant leur attendrissement. Son acidité lui confère également une puissante action antibactérienne. "Quand on fait mariner une pièce de gibier dans une préparation à base de vinaigre, explique le Dr Dukan, la quasi-totalité des microbes est détruite. Voilà pourquoi on l'utilise avec des aliments crus : saumon cuit en gravlax (mariné à l'aneth), sushis, crustacés... "
Mais attention à son action sur les légumes : en prédigérant la cellulose de la salade verte, il peut rendre cette dernière toute raplapla en quelques dizaines de minutes. Enfin, tordons le cou à une idée reçue : son acidité n'entraîne pas d'aigreurs et ne fait pas mal à l'estomac. Celui-ci produit des sucs beaucoup plus acides que le vinaigre lui-même. Pas de restriction sauf en cas d'ulcère sévère, de gastrite ou de reflux gastro-oesophagien.

Du vinaigre de cidre dans la pharmacie


Nos grands-mères aimaient le vinaigre et l'utilisaient non seulement pour assaisonner les salades mais surtout pour tous les petits maux du quotidien. Leur "chouchou" dans la grande famille des vinaigres était sans nul doute le vinaigre de cidre, riche en minéraux (notamment le potassium, chlore, calcium, soufre, fer fluor, silicone), en vitamines, en acides aminés et en oligoéléments. Leurs recettes :
Démangeaisons : le vinaigre de cidre dont le pH est proche de celui de la peau, apaise les irritations cutanées. A appliquer directement sur les piqûres de moustique, par exemple, ou (si l'on a la peau sensible) dilué dans l'eau du bain.
Bains de bouche : le vinaigre de cidre, toujours lui, rafraîchit la bouche en éliminant les bactéries responsables de la mauvaise haleine.
Cystites : c'est encore le vinaigre de cidre qui contribue à la prévention des infections urinaires car, en acidifiant les urines, il empêche le développement des bactéries. Pour une réelle efficacité préventive, boire chaque jour un verre d'eau additionné d'une cuillère à soupe de vinaigre de cidre et éventuellement d'une cuillère de miel.
Hoquet : en cas de hoquet, buvez sans respirer trois gorgées d'eau tiède additionnée de vinaigre ou croquez un sucre imbibé de vinaigre.
Rhume : dans ce cas, le cidre s'utilise en inhalation. Mélangez deux à trois cuillères à soupe de vinaigre de cidre pour un grand bol d'eau bouillante. Se couvrir la tête au-dessus du bol et respirer les vapeurs.
Transpiration excessive : le vinaigre possédant (aussi) une action régulatrice du mécanisme de sudation, nos grands-mères conseillaient de se badigeonner les aisselles avec du vinaigre de cidre en cas de transpiration excessive. Mais, côté parfum, on préfère quand mêmes les déos !



source:topsanté
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30 mai 2009 6 30 /05 /mai /2009 13:47

Les nausées se manifestent dès le premier mois de grossesse et disparaissent progressivement à la fin du troisième mois, mais certaines femmes en souffrent plus longtemps (notamment lors de grossesse multiple). Les nausées touchent 50 % des femmes enceintes.

Quelles en sont les causes ?

– Une baisse du taux de sucre dans le sang le matin après la longue période de jeûne de la nuit.

– La hausse du taux d'hormones de grossesse (HCG) dans le sang, pendant les trois premiers mois.

– Un système olfactif plus sensible.

– Une digestion plus lente due à un relâchement relatif du tissu musculaire au niveau des voies digestives.

– Une augmentation de l'acidité de l'estomac.

– L'anxiété, le stress, la fatigue peuvent entraîner des troubles gastro-intestinaux.



Quinze minutes avant de vous lever le matin, grignotez un en-cas préparé la veille (fruits secs, pain, céréales sans lait…). Le mieux est de vous faire porter le petit déjeuner au lit !

– Revoyez la composition du petit déjeuner
Du thé, du chocolat, un produit laitier (un verre de lait, un yaourt ou une part de fromage), 2 ou 3 tranches de pain (blanc, complet, céréales…), un peu de beurre, 1 cuillerée de confiture ou de miel. Evitez le café au lait ou le thé au lait, difficiles à digérer.
– Répartissez les prises alimentaires dans la journée
Mangez peu mais souvent. Optez pour 3 repas légers et équilibrés à base de protéines, de féculents, de légumes crus ou cuits et d'un produit laitier. Complétez dans la journée par deux collations (fruit, lait…) dont une prise le soir afin d'éviter de rester à jeun trop longtemps la nuit.
– Privilégiez certains plats
Cuisinez sans matières grasses. A l'eau, à la vapeur, en papillote, au gril ou à la poêle antiadhésive. Ajoutez à la fin de la cuisson une noix de beurre ou un filet d'huile (colza, olive, tournesol). Buvez régulièrement, surtout en cas de vomissements. Pensez aux jus de fruits, de légumes, aux bouillons… Oubliez pour un temps choux, fritures et plats en sauce, trop lourds à digérer.

– Fuyez les odeurs qui peuvent déclencher les nausées (aliments, tabac, parfum…).

– Reposez-vous, si possible, dans la journée.

– Aérez-vous.

– Buvez des infusions (achetées en pharmacie), à la verveine, à la menthe, à l'anis.

Quand consulter ?
Les nausées peuvent être plus importantes en cas de grossesse gémellaire ou lorsque la future maman est confrontée à des situations stressantes, mais des vomissements répétés justifient une consultation. D'autant plus, si vous avez des signes de déshydratation (sécheresse de la bouche et des lèvres, urines plus rares) ou si vous perdez du poids.
Quels remèdes pour atténuer les nausées?
Parallèlement à un antinauséeux prescrit par le médecin (ne prenez rien sans avis médical), vous pouvez tenter l'homéopathie sans négliger pour autant votre suivi médical.

source: santemagazine
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30 mai 2009 6 30 /05 /mai /2009 13:42

Sans gravité, la crise d'herpès labial peut récidiver : de nouvelles poussées se manifestent alors sous l'influence de facteurs comme la fièvre, le stress, une émotion intense, l'alcool ou encore le soleil.

S'il n'est pas possible aujourd'hui d'éradiquer le virus (il persiste à vie dans l'organisme une fois qu'il a réussi à y entrer), différents traitements permettent toutefois de le maintenir silencieux. Pour moins de crises, moins de boutons et moins de croûtes !

Quels sont les traitements ?

- Agir vite pour stopper la poussée. Il est essentiel de repérer les premiers picotements et sensations de brûlures. Appliquez alors sur la zone sensible une crème à base d'aciclovir.

- Si un bouton se forme ou que la crise est inhabituellement forte, demandez vite à un dermatologue de vous prescrire un traitement général. Des comprimés d'aciclovir ou de valaciclovir freinent efficacement la multiplication du virus. Ces médicaments sont bien tolérés et leurs seules contre-indications sont de graves insuffisances hépatique et rénale.

- Si vous souffrez de crises fréquentes (une à deux fois par mois), placez un comprimé dans votre sac pour le prendre le plus tôt possible après les signes annonciateurs.

Enfin, les personnes très sensibles peuvent suivre un traitement oral continu pendant trois à six mois pour prévenir les poussées et ne plus guetter le moindre bouton.

L'herpès labial est un virus très contagieux dès les premières démangeaisons et jusqu'à ce que les croûtes tombent. Mais il peut également être contagieux lorsque l'infection passe inaperçue en cas de sécrétions dites asymptomatiques. Pas de panique, un contact direct (un baiser notamment) est nécessaire pour transmettre le virus.

L'herpès labial peut se développer sur différentes parties du visage ?
Vrai. Il peut toucher l'intérieur de la bouche, le nez, le menton et surtout les yeux. Il est donc important de se laver les mains si les doigts entrent en contact avec la lésion.

L'herpès labial n'est pas le même que l'herpès génital ?
Vrai. Bien qu'ils appartiennent à la même famille de virus.

L'herpès peut s'attraper par contact avec un animal ?
Faux. Seul l'homme est infecté par ce microbe.

source: santemagazine

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15 mai 2009 5 15 /05 /mai /2009 18:38
La médecine chinoise veille au confort des fibromyalgiques
Bien-être | Acupuncture et phytothérapie soulagent notablement les patients, affirme le docteur Fumagalli.

 



© MARTINE DUTRUY | Moxibustion. En brûlant, le bâtonnet d’armoise réchauffe les aiguilles ou la peau au niveau des points d’acupuncture.

BERNADETTE DELUZ | 22.11.2008 | 00:00

Mal partout, mal tout le temps! On sait ce que la fibromyalgie n’est pas, mais très mal ce qu’elle est, sauf qu’elle est reconnue comme maladie par l’OMS depuis 1992.

Ses symptômes: douleurs diffuses dans tout le corps, fatigue intense couplée à des insomnies, maux de tête récurrents, anxiété, troubles digestifs et circulatoires, dépression… notamment. La fibromyalgie, qui atteint surtout les femmes, est diagnostiquée – seulement lorsque la possibilité d’autres maladies est éliminée – quand une douleur est ressentie à la pression (4 kg) d’au moins onze de dix-huit points sensibles (voir graphique).

On la combat, sans jamais la vaincre, à coups d’antiépileptiques, d’antidépresseurs, de relaxants musculaires, d’anti-inflammatoires… L’aquagym soulage, ainsi que les massages.

Meilleure qualité de vie

«Elle ne remplace pas la médecine allopathique, mais la médecine traditionnelle chinoise (MTC) est un excellent complément thérapeutique, constate Massimo Fumagalli, qui cumule les diplômes de médecin suisse et chinois. La MTC permet dans la plupart des cas de diminuer la douleur et d’offrir une meilleure qualité de vie, tout en ne provoquant que très peu d’effets secondaires.»

Selon la MTC, la fibromyalgie appartient à un groupe de maladies nommées syndromes Bi, ce qui, en chinois, signifie «blocages»; blocages de la circulation des énergies dans diverses parties du corps. Le syndrome Bi est influencé par des facteurs extérieurs tels que l’humidité, le froid et le vent qui ralentissent fortement la circulation du sang et de l’énergie.

La fatigue, les problèmes digestifs, le manque de concentration et les symptômes neurovégétatifs faisant partie de la fibromyalgie sont considérés par la MTC comme un manque d’énergie ou de Qi.

En médecine traditionnelle chinoise, le traitement de la fibromyalgie est de longue durée. Il a deux options thérapeutiques principales.

L’acupuncture. Les aiguilles sont insérées dans des points stratégiques du corps. Manipulées avec délicatesse, elles provoquent une sensation de pression, pas de piqûre. Ce traitement améliore la circulation des énergies, réduit les blocages et donc diminue la douleur.

Plusieurs techniques peuvent améliorer l’efficacité de l’acupuncture, notamment l’électrostimulation des aiguilles et la moxibustion. Celle-ci consiste à appliquer, sur les aiguilles ou au-dessus des points d’acupuncture, de la chaleur dégagée, en brûlant, par bâtonnets d’armoise séchée.

La phytothérapie. Le praticien prescrit des décoctions à base d’herbes choisies en fonction de chaque patient. Ce traitement renforce l’effet thérapeutique de l’acupuncture.

«En général, une dizaine de séances de MTC suffisent pour réduire notablement les douleurs et les symptômes généraux. Mais, plus la maladie est ancienne, plus le traitement est long. Ensuite, un soin mensuel suffit normalement à maintenir l’amélioration obtenue», se réjouit M. Fumagalli.


source:http://www.tdg.ch
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14 mai 2009 4 14 /05 /mai /2009 16:34
Il existe une liaison intime entre les hormones sexuelles et la migraine. Ainsi, certaines périodes de la vie d’une femme influent favorablement ou défavorablement sur le déclenchement des crises de migraine, voire sur leur intensité.
Au quotidien

Migraine et cycle menstruel
L’influence hormonale est indéniable. Première constatation : 10 à 20% des migraineuses voient débuter leur maladie au moment de la puberté. Avant la puberté la migraine touche autant les garçons que les filles. Mais après la puberté, la migraine atteint deux à trois fois plus de femmes que d’hommes. A noter que cette constatation n’est pas valable pour la migraine avec aura, forme de migraine qui prédomine chez le sexe féminin dès l’enfance.
On constate également que la migraine est une affection qui accompagne les règles dans un grand nombre de cas. Entre 25 et 55% des migraineuses souffrent de crises menstruelles en plus ou non d’autres crises durant le cycle. Parmi ces femmes, 5 à 10% souffrent exclusivement de migraines menstruelles. A noter que les crises menstruelles, également appelées crises cataméniales, surviennent uniquement pendant une période allant de deux jours avant les règles jusqu’à la fin de celles-ci. Classiquement, les crises cataméniales sont plus longues, plus intenses et plus résistantes aux traitements.
La chute brutale des estrogènes en fin de cycle explique la survenue des crises menstruelles.


Migraine et pilule
Chez une petite proportion de femme, la migraine débuterait sous contraceptif oral. Par ailleurs, l’arrêt de la pilule n’apporterait pas toujours une amélioration immédiate.
Pour la grande majorité des femmes qui souffrent de migraines menstruelles, la prise d’une contraception orale augmente les crises de migraine. Parfois, l’aggravation en fréquence et en sévérité des crises se produit plutôt durant la semaine d’arrêt du contraceptif.
En revanche, pour 30 à 40% des migraineuses, la pilule ne modifie en rien leurs crises, et parfois même les améliore.
L’influence exacte de la composition hormonale de la pilule est mal connue. On s’accorde cependant à privilégier les pilules faiblement dosées en estrogène chez les femmes migraineuses afin de réduire le risque vasculaire cérébral (et particulièrement en cas de migraine avec aura). En effet, migraine et pilule représentent des facteurs de risque d’accident vasculaire ischémique cérébral.


Migraine et grossesse
Une amélioration de la migraine s’observe chez une majorité de femmes pendant la grossesse, particulièrement durant le 2e et le 3e trimestre. Elle peut même complètement disparaître chez certaines femmes. Pour une petite proportion de femmes, la grossesse ne change rien, voire dégrade la situation. A noter également que dans de rares cas, la grossesse peut déclencher la survenue de la maladie migraineuse.
Durant le post-partum, on estime que 30 à 40% des femmes souffrent de crises de migraine, particulièrement les femmes migraineuses avant la grossesse et atteintes de crises menstruelles.


Migraine et ménopause
Classiquement, la prévalence de la migraine décroît avec l’âge. Mais le plus souvent, la maladie s’intensifie avant et au moment de la ménopause, pour s’atténuer ensuite. Reste que chez certaines femmes, la ménopause ne change rien. Quant au traitement hormonal substitutif, ses effets sur la migraine sont très variables. La migraine ne représente pas une contre-indication à la mise en place de celui-ci et il ne s’accompagne pas d’un risque vasculaire cérébral.


source: santé.fr
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14 mai 2009 4 14 /05 /mai /2009 16:21
Saignement vaginal anormal - Maladies et Symptômes
Les femmes ne devraient pas avoir de saignements vaginaux en dehors de la période des menstruations, bien que certaines constatent la présence de quelques gouttes de sang au moment de l'ovulation.
Un saignement intermenstruel peut être sans conséquence, mais il peut aussi révéler toute une variété de problèmes sous-jacents et justifier une investigation approfondie.

Quelles sont les causes ?

Contraceptifs à faible dose (minipilule). Chez certaines femmes, la faible teneur en oestrogènes amincit et fragilise l'endomètre (couche interne de l'utérus);

Oubli de prendre un comprimé pendant plus de 24 heures. Cela peut causer un léger saignement, inoffensif, mais augmente le risque de grossesse non désirée;

Saignement ovulatoire. Environ 5 % des femmes ont un léger saignement au moment de l'ovulation ; ce saignement peut s'accompagner d'une légère douleur au côté droit ou gauche de l'abdomen;

Dysfonctionnement ovarien. L'ovaire peut commencer à fonctionner irrégulièrement au moins 10 ans avant la ménopause, ce qui entraîne un épaississement de l'endomètre, avec expulsion de fragments, d'où les saignements;

Complications liées à une grossesse : signes avant-coureurs d'un avortement spontané, avortement spontané, grossesse ectopique (grossesse hors de l'utérus);

Polypes. Ces tumeurs bénignes sont situées sur le col et saignent souvent facilement au contact;

Fibromes. Tout à fait bénignes, ces tumeurs sont situées dans la paroi de l'utérus; elles peuvent causer des saignements irréguliers et, à l'occasion, des douleurs, selon leur localisation dans l'utérus ;

Cellules atypiques (dysplasie cervicale). Ces cellules anormales, situées sur le col de l'utérus, ne sont pas dangereuses en soi, mais elles ont cependant le potentiel de se transformer en cellules cancéreuses;

Infection du col de l'utérus (cervicite). Le saignement peut survenir avec ou sans relations sexuelles ; la chlamydia, une infection transmissible sexuellement, est le plus souvent en cause.

Endométrite (infection de la couche interne de l'utérus). Elle est le plus souvent causée par des bactéries, et s'accompagne généralement de fièvre, de douleurs et de pertes vaginales jaunâtres nauséabondes;

Cancers du col de l'utérus , de l'utérus ou du vagin;

Rapports sexuels. Ils peuvent être à l'origine de microabrasions ou même de lacérations de la paroi vaginale ou du col de l'utérus. Le problème sera amplifié si les rapports sont trop énergiques ou s'il y a lubrification inadéquate du vagin, ce qui fragilise la muqueuse. L'absence de lubrification adéquate peut être attribuable à des facteurs psychologiques, comme le stress, ou à des facteurs hormonaux liés à la ménopause;

Corps étranger. Le stérilet peut entraîner comme effet secondaire des saignements intermenstruels. Chez l'enfant, un corps étranger dans le vagin (gomme à effacer, brique Lego, etc) peut être une cause de saignement vaginal;

Traumatismes. Les relations sexuelles violentes, les viols ou les chutes (sur une clôture ou une barre de bicyclette, par exemple) peuvent causer des saignements abondants ;

Médicaments prédisposant aux saignements (aspirine, anticoagulants);

Maladies généralisées (maladies de la glande thyroïde, maladies du sang et troubles de la coagulation);

Saignement d'autre origine (vessie, rectum). Il n'est pas toujours facile d'identifier l'origine d'un saignement, étant donné la proximité du vagin, de l'urètre (conduit pour uriner) et de l'anus. Un examen médical s'avère nécessaire.


Conseils pratiques

Ne pas ignorer le saignement. Vous devez consulter un médecin.

Ne pas se donner de douche vaginale après un saignement. Cette intervention est inutile. De manière générale, les douches vaginales sont déconseillées, car elles altèrent le pH (taux d'acidité) du vagin.

Faire un test de grossesse. Toute femme en âge de procréer qui remarque un saignement anormal malgré l'utilisation d'un moyen de contraception devrait passer un test de grossesse.

Passer un Pap test régulièrement. Ce test de routine, qui permet de détecter des cellules anormales à un stade précoce, peut vous sauver la vie. Il est fortement recommandé de le passer une fois par an. Le médecin le complétera par un examen gynécologique complet.

Opter pour des pratiques sexuelles douces. Une friction excessive peut être à l'origine du saignement.

Utiliser un lubrifiant lors de relations sexuelles. Si vos sécrétions vaginales sont insuffisantes, utilisez les gels stériles vendus en pharmacie (K-Y, etc).

source:e-santé
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13 mai 2009 3 13 /05 /mai /2009 17:01
Mal du siècle selon certains, le mal de dos est l’une des indications principales des cure de thalassothérapie, aussi bien à titre préventif que curatif. Les cures santé du dos ont l’avantage d’agir à deux niveaux : assouplissement musculaire, favorisé par l’eau de mer, et réapprentissage des gestes quotidiens pour prévenir le mal de dos, le tout dans un cadre propice à la détente.

L’éducation du dos

Le bilan kiné réalisé en début de cure permet d’évaluer l’état du dos du patient, et ainsi de mettre en place un planning de soins personnalisé.

Au programme : exercices en salle, en piscine (la portance naturelle de l’eau, qui rend le corps beaucoup plus léger, facilite les mouvements). Ces exercices ont un double objectif : la correction et le renforcement. Correction tout d’abord : il s’agit de mieux contrôler les postures de son corps, sa respiration, dans les gestes les plus simples du quotidien (faire son lit, sortir de la voiture, porter bébé…). Renforcement ensuite : il s’agit de muscler mais aussi d’étirer le dos et la sangle abdominale.

Comme ces mouvements sollicitent activement les muscles du dos, la cure doit se faire hors épisode inflammatoire, pour ne pas ajouter à la douleur.

Les classiques de la thalasso

L’eau de mer chauffée est naturellement favorable à l’assouplissement musculaire et à la mobilité des articulations : elle ne peut donc être que bénéfique au dos. Ainsi, elle est déclinée sous diverses formes.

Les bains hydromassants et leur système de jets multiples suivant les trajets musculaires, ont une action décontracturante, antalgique et circulatoire . Les douches sous-marines associent quant à elles les bienfaits de l’eau de mer à ceux des massages par pression du jet. Les jets, cette fois beaucoup plus toniques, sont également utilisés dans les séances de jets sous-marins, un soin de groupe durant lequel les curistes, guidés par l’hydrothérapeute, effectuent des mouvements devant ce jet.

Les algues, et particulièrement les laminaires, ont une action décontracturante et antalgique. Maintenue à une température de 40°C par des lampes infrarouges ou des couvertures chauffantes, la pâte d’algue, appliquée sur de grandes étendues ou localement, exerce un effet cataplasme qui détend le muscle et atténue la douleur.

Les massages (effectués par un kinésithérapeute) contribuent à décrisper les muscles du dos.

Ce programme peut être enrichi de soins complémentaires comme des séances de relaxation en piscine, des séances de musculation, des séances d’initiation à la nage crawlée, toujours dans cette perspective d’assimiler les bons gestes afin de ne pas blesser son dos.

source: sante-az
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13 mai 2009 3 13 /05 /mai /2009 16:46

La grossesse n'est pas toujours synonyme de sérénité.

L'inondation progestéronique sécrétée par le corps jaune (enveloppe de l'ovule fécondé) durant les trois premiers mois de grossesse modifie le comportement :
- tantôt dans un sens positif, portant la future maman dans une quiétude bienheureuse,
- et tantôt dans un sens négatif, avivant les craintes, les doutes, exacerbant le besoin d'être rassurée.
Parfois, un vécu familial ou une prédisposition personnelle à l'inquiétude viendront se cumuler à cette fragilité émotionnelle pour entrainer un état de stress, qui viendra polluer non seulement la maman, mais l'harmonie des rapports entre la future mère et l'enfant  qu'elle porte.

Les anxiolytiques chimiques sont contre-indiqués.
Restent les méthodes naturelles, qui peuvent, dans bien des cas, aider à rétablir cette harmonie.

Les plantes médicinales du stress


- La Mélisse Melissa officinalis fait partie de la famille des Lamiaceaes. Elle contient des flavonoïdes et des tanins, et peut, en quantité modérée, être consommée pendant la grossesse.
Son HE, par contre, est contre indiquée.
- Le Tilleul, Tilia tomentosa. Il parait que faire la sieste sous un tilleul est apaisant alors que faire la sieste sous un noyer est perturbant.
Quoi qu'il en soit, une première décimale (1DH, ce qui veut dire dilué au dixième) de Tilia tomentosa exercera une activité légèrement sédative et anxiolytique.

En aromathérapie
Applications locales sur la face interne des poignets et le plexus solaire une a deux fois par jour, avec deux à trois gouttes du mélange suivant :
HE  Ylang ylang (Cananga odorata),  HE Angélique (Angelica archangelica)  ââ qsp un flacon 10 ml.

En homéopathie
- Ignatia 9CH, remède de spasmes, de serrement de gorge et de plexus solaire, sera indiqué pour traiter le changement d'humeur d'un instant à l'autre.
- Ignatia pourra être complété par Aconitum napellus 9 CH, si les crises d'angoisse s'apparentent à des états de panique de survenue soudaine.
- Gelsemium 9 CH, remède de l'anxiété d'anticipation. La grossesse et les peurs anticipés sur la santé de l'enfant et/ou sur l'accouchement à venir, illustrent parfaitement l'intérêt de Gelsemium dans la grossesse.

En oligothérapie

- Lithium oligoélément : une ampoule matin et soir pendant quelques jours.

Un mot sur les élixirs floraux, avec Mimulus pour les peurs "panique", et White chestnut pour les pensées obsédantes sur un thème précis, tournant en boucle et que l'on n'arrive pas à chasser.

Une fois un peu de calme retrouvé, la sophrologie, si utile pour l'accouchement, peut se révéler une aide précieuse pour détendre le corps et l'esprit. en utilisant le contrôle de la respiration,

Exemple de prescription :
- Melissa officinalis suspension de plantes fraiches : 30 gouttes matin et soir dans un peu d'eau
- Tilia tomentosa MG 1D : 50 gouttes au coucher si le sommeil est perturbé.
- Gelsemium 9 CH  :  trois granules 10 minutes avant chacun des trois repas. On espacera  la prise au fur et à mesure que cela va mieux.
- Aconitum 9 CH et Ignatia 9 CH  :  deux granules de chaque dès qu'une crise d'angoisse survient.

Dr Michel TOURRASSE

Attention ! Les exemples de traitement sont proposés pour parfaire votre culture générale et votre connaissance des thérapeutiques naturelles.
Ces exemples ne constituent en aucune manière un traitement à part entière.
Dans tous les cas parlez de votre problème de santé à votre médecin ou à votre pharmacien. 

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12 mai 2009 2 12 /05 /mai /2009 19:22

Il ne fait aucun doute que le téléphone cellulaire est vraiment pratique. Il offre un réseau de sécurité constant, une possibilité de communication instantanée avec les autres – et avec les services d'urgence – en cas de besoin. Mais cela pose-t-il des problèmes de santé ou de sécurité d'être à ce point hyperconnecté durant des périodes aussi longues ? Plutôt que de sombrer dans la panique des « Et si jamais… », restons branchés sur les 6 préoccupations suivantes relatives à l'usage du téléphone cellulaire et à la santé.

Sonnerie d'alarme : tumeurs et cancer

En réalité, votre téléphone cellulaire n'est pas un téléphone. C'est une radio avec émetteur-récepteur qui émet un rayonnement à faible puissance. Les téléphones cellulaires sont collés contre nos oreilles, nos joues et notre cou et nous exposent de façon très rapprochée à un champ d'ondes radioélectriques. Mais le fait de tenir un appareil radio près de notre tête nous expose-t-il à une quantité suffisante de rayonnement pour entraîner des tumeurs ou un cancer ?

À l'heure actuelle, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) indique qu'il est peu probable que l'exposition aux rayonnements d'un téléphone cellulaire « induise ou favorise l'apparition de cancers ». L'OMS passe en revue une quantité importante de recherches scientifiques sur le sujet, mais le rapport ne sera pas publié avant 2010.

Il est difficile de mesurer l'impact de l'exposition aux téléphones cellulaires puisqu'il faut à certains cancers plus de 10 ans pour se développer et que les statistiques sur l'emploi du cellulaire n'ont explosé que depuis les dernières années. Certaines recherches récentes sont toutefois parvenues à repérer des utilisateurs de plus de 10 ans et ont établi une association possible avec les tumeurs et les cancers du cerveau. La chaleur générée par les cellulaires et la proximité des radiofréquences émises ont été soupçonnées comme pouvant être à l'origine des tumeurs de la tête et du cou, et des glandes salivaires par exemple. En dépit de résultats non concluants, bon nombre de spécialistes de la santé favorisent le principe de précaution.


Sonnerie d'alarme : sécurité des enfants

Le dicton « Mieux vaut prévenir que guérir » s'applique tout particulièrement aux enfants qui utilisent un appareil cellulaire. Un petit enfant dont le cerveau est toujours en développement, dont les tissus sont plus mous et l'épaisseur du crâne plus mince, risque en effet d'être plus exposé à la pénétration des rayonnements qu'un adulte. Cela joint au fait que les enfants de nos jours ont tendance à se servir de leur téléphone cellulaire encore et toujours plus, et de plus en plus jeunes, le risque pour leur santé, s'il existe, pourrait donc augmenter. Il n'existe pas encore de données concluantes sur les dangers du téléphone cellulaire et la santé des enfants, mais beaucoup de chercheurs préconisent un usage restreint de cet appareil à titre de précaution.


Sonnerie d'alarme : conduite avec facultés affaiblies

Il n'est guère étonnant que plusieurs États des États-Unis aient interdit l'utilisation du téléphone cellulaire au volant : le fait de conduire en parlant avec son cellulaire peut entraîner des conséquences aussi graves que de conduire en état d'ébriété. Et cela est vrai qu'il s'agisse du cellulaire en main ou de la méthode supposément plus sûre du mains libres. Il ressort que le manque d'attention peut être un problème plus grave que de ne pas avoir ses mains sur le volant. Vous êtes pris dans une conversation téléphonique, votre attention est divisée entre l'écoute, la formulation de vos réponses, le fait de parler et la route devant vous.


Sonnerie d'alarme : contamination

Des chercheurs britanniques ont entaché la réputation des téléphones cellulaires à l'échelle mondiale quand ils ont publié les résultats de leurs tests avec écouvillon sur les appareils sans fil. Toute cette chaleur accumulée à partir du téléphone, de notre peau, de notre bouche, ou encore de nos poches, mallettes ou sacs à main où nous rangeons nos cellulaires, peut créer un terrain favorable aux bactéries qui peuvent entraîner un simple rhume, une infection à staphylocoques ou même une méningite. Mais n'appuyez pas sur le bouton panique ! La présence de bactéries n'entraîne pas nécessairement d'infection ; il vous suffit de nettoyer régulièrement la surface de votre téléphone pour le garder propre.


Sonnerie d'alarme : insomnie

Il ne fait aucun doute qu'une sonnerie ou un appel téléphonique malvenus puissent vous garder éveillé toute la nuit, mais les téléphones cellulaires peuvent tout particulièrement entraîner de l'insomnie. Dans une étude sur le sommeil, on a constaté que les participants exposés aux signaux sans fil durant trois heures, prenaient plus de temps à tomber dans le sommeil profond qu'un autre groupe non exposé à ces signaux. Certains ont aussi signalé des maux de tête.  Il se pourrait que les cellulaires soient aussi responsables du caractère parfois grincheux des adolescents, car on a trouvé que l'usage excessif du cellulaire par les adolescents avait tendance à favoriser l'agitation et la perturbation du sommeil.


Sonnerie d'alarme : infertilité

Tandis que les minutes passées au téléphone cellulaire augmentent, le nombre de spermatozoïdes diminue. C'est du moins ce que révèle une recherche parue dans le journal de l'American Society for Reproductive Medicine. Comparativement à d'autres hommes, ceux qui ont l'habitude de bavarder au téléphone plus de 4 heures par jour avaient un nombre moyen de spermatozoïdes moins élevé et également un nombre moins élevé de spermatozoïdes viables. Même si ce lien n'est pas à exclure, ces chercheurs poursuivent leurs recherches afin de déterminer si le rayonnement électromagnétique est la cause de cette baisse de production de sperme ou si le mode de vie et d'autres facteurs professionnels pourraient être en cause.

Une question de bon sens
  • Servez-vous de votre cellulaire uniquement quand c'est absolument nécessaire et privilégiez le téléphone fixe si possible.
  • Tenez-vous à distance du téléphone. Même quelques centimètres entre votre corps et votre téléphone peuvent diminuer les risques. Essayez le système mains libres, comme les écouteurs ou la fonction haut-parleur.
  • Essayez l'oreillette, comme ceux qui utilisent la technologie Bluetooth®. Ces systèmes émettent moins de rayonnement que l'appareil cellulaire classique tenu près de l'oreille.
  • Achetez un téléphone qui émet moins de rayonnement. Vous pouvez trouver sur internet l'émission de rayonnement des cellulaires en fonction de la marque. 
  • Si vous êtes parent et que vous envisagez de fournir un téléphone cellulaire à votre enfant, gardez à l'esprit les préoccupations de santé et de sécurité pour les jeunes. N'oubliez pas, non plus, que le téléphone cellulaire est bien plus qu'un simple téléphone et demandez-vous si votre enfant est capable de gérer de façon responsable un téléphone, une caméra, une connexion sur internet sans fil et un système de messagerie texte.  Pensez à quel point il peut être complexe de surveiller l'utilisation de tous ces outils.
  • Si vous êtes dans votre voiture et que vous devez faire un appel, prenez le temps de vous retirer de la voie de circulation pour faire votre appel dans un endroit sans danger.
  • Fermez votre téléphone cellulaire pour vous assurer de ne pas être dérangé pendant que vous dormez.
  • Pour garder une certaine distance entre votre corps et votre cellulaire, ne portez pas votre téléphone dans votre poche ou à la ceinture.

Amy Toffelmire

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12 mai 2009 2 12 /05 /mai /2009 13:55
Les plantes aromatiques ont tout bon
par Leslie Gogois,

Rien ne vaut les plantes aromatiques pour rehausser un plat en toute simplicité, sans parler de leurs atouts santé.




L’aneth, l’amie de vos nuits

Ses atouts

Elle était déjà utilisée par les médecins de l’Egypte ancienne… Et on comprend pourquoi : elle est très efficace pour lutter contre les troubles gastriques et ceux du sommeil.

J'en fais quoi ?

Idéal avec du saumon, frais ou fumé, comme avec du lieu ou du cabillaud, un peu fades. Plus insolite, testez-la en grains avec des écrevisses ou des gambas poêlées. Ajoutez-la aussi dans vos vinaigrettes.

La bonne idée

Pour une entrée express, mélangez 2 yaourts veloutés nature avec 1 cuil. à soupe de moutarde et 3 cuil. à soupe d’aneth ciselée. Ajoutez 2 concombres coupés en dés. Poivrez.


La coriandre, l’herbe tonique

Ses atouts

Très apéritive, elle est parfaite pour stimuler la digestion.

J'en fais quoi ?

Fraîche, la coriandre se marie à merveille au cumin, curry ou colombo en poudre pour donner une touche exotique à vos plats. Elle est savoureuse avec l’agneau, le bœuf et le poulet. Ajoutez au choix un peu de coriandre fraîche lors de la cuisson d’un plat ou au dernier moment. En grains, elle est idéale pour parfumer rôtis ou salades. Utilisez-la à petite dose, sa saveur est très présente. Pensez-y pour vos marinades.

La bonne idée

Oubliez le basilic sur les tomates-feta, remplacez-le par de la coriandre.


Le persil source de jeunesse

Ses atouts

L’herbe la plus utilisée en cuisine est une championne côté nutrition : truffé de vitamine C, calcium (un des plus forts taux pour les végétaux), fibres, vitamine B9, fer, antioxydants, le persil devrait être un réflexe lorsque vous cuisinez.

J'en fais quoi ?

Dégustez-le frais ou surgelé. Evitez le déshydraté qui n’a aucun intérêt. A parsemer en fin de cuisson sur viandes et poissons, à ajouter dans vos purées ou vos soupes.

La bonne idée

Testez le persil frit : plongez-le quelques instants dans une friture très chaude, égouttez-le sur du papier absorbant et servez ces bouchées croustillantes avec vos poissons. Mais attention, la vitamine C se perd à la cuisson...


Le thym antibiotique naturel

Ses atouts

La liste est longue… Il a des vertus antibiotiques, antiseptiques et digestives (notamment en infusion). Il est aussi réputé pour stimuler l’appétit et lutter contre la fatigue.

J'en fais quoi ?

C’est l’allié incontournable de vos barbecues, parsemé sur des côtes d’agneau ou de porc. Ajoutez-le aussi sur vos rôtis, dans les farces et les marinades.

La bonne idée

Utilisez les branches de thym frais comme piques à brochette


L’ail aime notre cœur

Ses atouts

Il active la circulation sanguine, fait baisser la tension artérielle et des études ont montré qu’il réduisait le taux de mauvais cholestérol.

J'en fais quoi ?

C’est un réhausseur de goût inégalable… Pensez à ajouter une gousse non épluchée dans l’eau de cuisson de vos pâtes.

La bonne idée

Croquez quelques grains de café ou de cardamome après un repas fort en ail : un mélange utile pour purifier l’haleine.


La cardamone hyperprotectrice

Ses atouts

En médecine chinoise, elle est la grande gagnante contre les maladies intestinales, les gastros… Elle est aussi diurétique.

J'en fais quoi ?

Achetez-la en graines. En poudre, elle s’évente rapidement. Les graines pilées se marient à merveille avec les compotes (notamment pomme et rhubarbe) et confitures, les carottes sous toutes leurs formes mais aussi les viandes blanches un peu fades.

La bonne idée

Parfumez le thé ou le café en y ajoutant 1 ou 2 graines de cardamome pilées.

source:femmeactuelle

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