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Massage ayurvédique de la tête
Lorsque vous massez la tête, commencez par la région entre les yeux (le chakra du troisième œil, le 6ème shakra ), sur le front. Cet endroit contrôle en effet tous les sens. Cela vous aidera à vous débarrasser de l’anxiété et du stress, par exemple.
Cet emplacement est également riche en concentration et en attention vitale. Et lorsque vous êtes stressé, il est difficile de se concentrer. Appliquez par la suite une pression circulaire sur les lobes temporaux. Cet endroit contrôle la vision et l’ouïe. Le massage du lobe temporal est extrêmement relaxant, aide au repos et favorise la circulation sanguine.
Massez également l’arrière de la tête, surtout la base du crâne, qui contient l’hypothalamus, qui régule l’équilibre du corps. Lorsque vous souffrez de vertiges et de perte de conscience, cela veut dire que votre hypothalamus est "gonflé" à cause d’une fièvre, de stress ou d’angoisse. Massez la base du crâne aide à la circulation des sécrétions vers l’hypothalamus.
Vous pouvez par la suite massez les côtés du cou qui contiennent les artères carotides, qui font transmettre le sang au cerveau via le coeur.
A la fin du massage, on peut appliquer un massage légèrement plus fort, autour des lobes temporaux. Cela procure une pression plus soutenue sur les lobes, qui contrôlent tous les systèmes de notre corps.
Ceci est une technique très relaxante, qui couvre aussi la région frontale, en aidant à améliorer la circulation dans votre "shakra du troisième oeil" et accroitre votre attention et votre concentration.
Le massage ayurvédique est l’héritier d’une famille de massage directement venu d’Inde, berceau de toutes les techniques manuelles.
Le mot sanscrit Ayurveda désigne la médecine indienne traditionnelle. Les palpations et pressions pratiquées sur le corps nu et huilé détendent, réduisent la tension nerveuse, et améliore la circulation sanguine.
En Inde, l’origine du massage se confond avec la création de l’homme. Les épopées traditionnelles décrivent les athlètes, les archers, les combattants se préparant par des massages vigoureux, en appliquant sur leur peau de la terre, de l’argile, des farines ou des herbes médicinales.
Les maharadjas se faisaient masser avec des huiles, de l’argile à la recherche de moyens pour ralentir leur vieillissement. L’art du massage est transmis par la tradition orale, de mère à fille ou de père à fils.
J'ai enfin décider de créer mon blog;
c'est comme un journal intime
seulement il sera partagé avec vous.
Je raconterai des choses
sur mon quotidien, mon désir d'enfant,
mes angoisses, mes joies,
mes peines et aussi quelques recherches
sur les différentes médecines qui peuvent nous être très utiles.
j'espère être à la hauteur
de tous ceux qui viendront visiter mon blog.
Bonne Visite
Qu'est-ce que l'homéopathie ?
L'homéopathie est un système de thérapie fondé sur le principe de similitude. Son nom, composé des deux termes grecs homoion (semblable) et pathos (souffrance), nous vient de celui grâce auquel l'homéopathie scientifique a vu le jour : le médecin, pharmacien et chimiste Dr Samuel Hahnemann (né en 1755 à Meissen, décédé en 1843 à Paris).
Samuel Hahnemann et le développement de l'homéopathie
Le Dr méd. Samuel Hahnemann était un médecin engagé qui est parvenu à développer une méthode de traitement autonome basée sur un certain nombre de lois fondamentales. Les principes sur lesquels repose la méthode dans sa forme actuelle n'ont pas changé depuis 200 ans. Des essais réalisés sur plusieurs années, où il nota scrupuleusement toutes ses observations, ont conduit Hahnemann à deux constats fondamentaux pour la guérison :
"Choisis toujours, pour guérir une maladie de manière douce, rapide, certaine et durable, un médicament capable de produire en lui-même un mal semblable (homoion pathos) à celui qu'il doit guérir !"
"Simila similibus curentur"
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"Que les semblables guérissent les semblables"
La tâche de l'homéopathe consiste à trouver, pour chaque patient, le médicament correspondant au mal dont il souffre. Dans cette perspective, l'homéopathe aura besoin d'une description exacte et complète de tous les signes et symptômes du patient (incluant si possible tous ses antécédents médicaux) qu'il recensera dans les moindres détails. Le travail qu'implique cette première anamnèse peut sembler fastidieux, il est cependant indispensable d'y consacrer le temps qu'il faut pour que le thérapeute puisse acquérir une vue globale de tous les processus pathologiques qui ont marqué la vie de son patient. On attend donc du patient qu'il apporte à cette recherche tout le soutien dont il est capable, sans rien chercher à dissimuler, même si la démarche lui semble pénible, insolite ou sans importance. Le secret médical auquel sont tenus les homéopathes, au même titre que les médecins, garantit au patient une discrétion absolue vis-à-vis de tiers.
La première étape qui suit la prise en charge du cas est l'évaluation globale des symptômes, qui aboutit à la définition d'un médicament. Le choix du médicament est une tâche extrêmement difficile, dans laquelle se mesure tout l'art du thérapeute; il exige lui aussi du temps et de la concentration, l'homéopathe devant étudier les références d'un certain nombre de médicaments dans la littérature spécialisée (traités de pharmacologie, répertoires; il procédera également à une recherche informatique). La dose et la puissance du médicament prescrit sont adaptées à la sensibilité individuelle du patient. Le traitement, au cours duquel pourront se succéder plusieurs médicaments, débutera même dans les cas chroniques par l'administration d'un seul médicament homéopathique. L'évolution du traitement sera discutée à intervalles réguliers avec le thérapeute.
Au cours de ses recherches conduites sur plus de 50 ans, Hahnemann a découvert que les symptômes d'une maladie ne sont pas la maladie elle-même, mais seulement son expression perceptible de l'extérieur. En fait, l'ordre et l'harmonie qui guident la force agissant en chacun de nous ont été perturbés, et la maladie en est le résultat. Cette force, Hahnemann l'a appelée la "force vitale". Elle n'est pas matérielle, mais doit être interprétée comme une force "dynamique", énergétique et, en quelque sorte, spirituelle (à titre de comparaison : le courant électrique ne représente rien de matériel non plus, il n'en est pas moins une source d'énergie). Elle anime la partie de notre organisme composée d'atomes, de molécules, de cellules, de tissus, d'organes etc., préserve et dirige toutes nos fonctions vitales, créant ainsi l'harmonie et l'ordre.
Quand survient la mort, cette force vitale quitte notre corps et, quand bien même les cellules, organes etc. sont toujours en place, la vie n'est plus possible. Dès lors, toute manifestation pathologique, en quelque endroit qu'elle apparaisse, doit être interprétée comme le signe d'une perturbation de l'harmonie qui guide cette force. Tout thérapeute qui comprend sa véritable mission n'aura donc de cesse de rétablir l'ordre et l'harmonie assurant l'épanouissement de cette force vitale. Elle est le seul point véritable où pourra être induite une guérison.
La force vitale n'étant pas matérielle, mais énergétique et dynamique, la nature des médicaments destinés à rétablir l'harmonie ne saurait non plus être matérielle. Hahnemann a consacré plusieurs années de recherche au développement d'un procédé particulier de production de médicaments. On appelle cette méthode la "dynamisation". De nombreuses substances naturelles utilisées en homéopathie, comme le sel, le fer, l'or, le cuivre, etc. acquièrent leur force curative précisément à ce stade; d'autres substances initialement toxiques, comme l'arsenic, le phosphore, le mercure, les venins etc. sont converties en d'importants médicaments grâce à ce processus.
Les maladies aiguës comme les maladies chroniques peuvent être traitées par l'homéopathie. Toutefois, le champ d'action de l'homéopathie ne se laisse pas définir par un diagnostic clinique (migraine, rhumatismes, asthme, etc.) Seuls sont déterminants les symptômes du patient qui rendent possible le choix d'un médicament selon le mode décrit ci-dessus. On ne saurait, naturellement, attendre de l'homéopathie le rétablissement d'organes détruits, de malformations congénitales ou de lésions analogues.